L'œuvre et le temps I, Méta-physique ; Le mouvement et la forme
Penser l’œuvre appelle à une philosophie du devenir et de la morphogénèse qui refuse toute séparation et toute domination de l’intelligible sur le sensible.
Alors que l’individualité, la localité et la mortalité sont les limites du monde physique (voir la physique quantique), l’altérité, la matérialité et la temporalité sont à l’échelle du monde
sensible les conditions de toute œuvre réelle, physique, naturelle ou humaine. Cette nouvelle méta-physique affirme que toute forme a pour origine un mouvement. La perception esthétique sera
alors la perception dans la forme du mouvement qui la détermine – un mouvement qui lui donne son sens, particulier et universel à la fois.
150 pages - 12 € - ISBN 2-9518953-2-1